Faire carrière est plus que jamais d’actualité…

Il n’existe pas de moment plus propice pour s’interesser à sa carrière.

Face à la vague des entrepreneur•e•s, néoentrepreneur•es, les mumpreneures, les blackpreneur•e•s, les techpreneur•e•s et tout ce qu’on peut ajouter en préfixe à l’entrepreneuriat, il est plus que jamais temps de se pencher sur les gens en carrière.9m

Il est facile de se méprendre sur ce mot. D’emblée, on voit des gens qui sont dans une situation d’employabilité, et qui sont préoccupé•e•s par une augmentation de salaire, une promotion, améliorer leur performance etc.

Or, la carrière concerne tout le monde. Du jeune entrepreneur, aux gens de professions liberales comme les avocats, les notaires, les médecins, les architectes. Même un professeur de collège et/ou d’université doit se pencher sur sa carrière.

Être à son propre compte doit être un motif plus que suffisant pour se pencher sur le cours de sa carrière.

Et pour ceux qui sont en entreprise, cette préoccupation permanente ne devrait plus en être une!

Bien penser les étapes de sa carrière, bien les construire, développer ses compétences, entretenir son réseau, mettre à jour ses connaissances, voilà bien d’étapes qui nous aident à prendre soin de notre carrière.

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2021, renaissons de nos cendres…

Les bouleversements de 2020 vont-ils nous empêcher de désirer le meilleur pour cette nouvelle année ?

Je déclare 2021l’année de la renaissance. Inutile de rappeler ici tous les bouleversements que nous avons connus tout au long des 12 derniers mois. Nous avons tous été impactés d’une quelconque manière. Mais comme j’ai aimé le dire, il fallait ces choses pour que chacun se rappelle sa mission et l’essentiel dans sa vie. Nous allons alors renaître en 2021. Tous les projets retardés, toutes les démarches annulées, les voyages, et autres impératifs reportés. Nous allons reprendre le train en marche de plus belle.

Il m’est toujours difficile de formuler mes vœux chaque nouvelle année. L’expérience et la vie m’ont appris que le plus grand des vœux est la santé. Et l’année qui vient de se terminer n’a pas cessé de nous le prouver.

Mais comment une personne frétillante de projets comme moi, avec de nouvelles idées qui germent chaque minute, peut-elle s’en tenir à un seul vœu ? 

Je veux donc que vos souhaits intimes et vos projets les plus secrets trouvent des voies de se réaliser cette année. Tout au moins, que le processus s’enclenche réellement. Que vous ayez le cœur exalté, les yeux pétillants, les bonnes personnes pour vous accompagner et les meilleurs pour vous distiller l’amour et la foi dont toute personne a besoin pour réussir.

La vie nous donne toujours l’opportunité de reprendre les choses d’une autre manière. Oui, nous avons le pouvoir et la liberté de décider que cette année, nous allons changer quelque chose dans notre vie. Que ce soit sur le plan personnel, émotionnel, amical, ou encore professionnel. L’année doit être une année de liberté : liberté dans nos choix, liberté dans nos actions dans un processus d’amélioration continue.

Je déteste faire des listes de souhaits, d’impératifs et de projets à réaliser. Faire des plans oui, mais toujours laisser une marge pour les changements dans sa planification

Sortez de la peur. Osez l’inconfort. Pour ma part, j’ai décidé de m’investir un peu plus sur Instagram. Mon compte passif, qui me servait à scruter les tendances du réseau et analyser le marché de la gestion de carrière va renaître en 2021. Un défi dites-vous ? De grande taille, je vous répondrai. Je suis beaucoup à l’aise à conseiller dans l’ombre que de me mettre en avant. Mais une personne bienveillante a su me convaincre qu’il y a un espace inoccupé que je dois remplir là-bas. Je compte donc beaucoup sur votre soutien pour mon compte Instagram : @carriereenjeux.

Pour finir, en 2021, soyons ouverts à tous les changements. 

Que l’année soit belle.

Fiat Lux !

La théorie des personnalités…

Voir décembre 2020 mérite une grande note de gratitude envers l’Univers. Quiconque a vécu cette année, s’est demandé, si décembre aller le trouver en excellente santé. Entre pandémie, mauvaises nouvelles, décès de proches et de personnalités, posons-nous donc une minute et exprimons notre gratitude.

Je finis donc cette année en abordant un phénomène qui prend beaucoup de dimension ces dernières années : les tests de personnalité.
Ceci est une bonne chose d’ailleurs. Mais, qui ne manque pas d’avoir des conséquences aussi.

J’avoue que je me suis sentie en retard sur le traitement de ce sujet. J’aurais voulu le proposer tout au départ, quand je vous ai soumis des fiches techniques pour mieux vous connaître et surtout cerner vos besoins professionnels. Ainsi, j’ai décidé de me rattraper ce mois-ci afin de finir l’année avec une meilleure connaissance de soi.

Vous avez certainement déjà fait un test de personnalité ; le plus basique sur Internet est le très célèbre MBTI, simplifié au « test des 16 personnalités ». Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le faire, je vous suggère de vous prêter à l’exercice au www.16personalities.com

Et il y a en bien d’autres encore. Ils sont plus complexes, plus précis et plus adaptés selon les situations et les résultats que l’on vise. Que cela soit traduit par des couleurs, des lettres de l’alphabet, des animaux symboliques, des chiffres croissants ou décroissants, une chose est sûre, le monde n’a jamais été aussi intéressé pendant ce siècle à mieux cerner les personnalités. 

Quels sont les avantages de se soumettre à un test de personnalité ?
Même si leur administration n’est pas faite dans les cadres légaux et définis (cabinets de psychologie, cabinets de recrutement, experts en personnalité), même si leur interprétation n’est pas toujours complète, ou est sujette à des subjectivités, la mise à disposition du public de ces outils a eu au moins pour avantage d’aider les gens à mieux se découvrir. Cela ne signifie pas que cela fait toujours plaisir. Se voir dévoiler ses faiblesses ou encore se voir cantonner dans des disciplines professionnelles que l’on n’aime pas, s’entendre dire que nous ne sommes pas assez bons pour travailler dans le domaine de notre rêve peut faire très mal. Mais il normalise un certain discours sur les traits de personnalité et surtout démystifie un certain langage que seuls les psychologues ou personnes alliées dans ce genre de domaine pouvaient utiliser. Il nous apprend à nous définir, à mettre des mots sur nos traits de caractère et nous identifier à une certaine catégorie de personnes donnée.

Mais où se situe donc le danger ?

A contrario, ces tests peuvent nous mettre dans des cases données et renforcer les biais. Supposons qu’un.e ami.e vous envoie un test de personnalité à faire. Son intention est pure et innocente. Il n’a l’unique désir que de mieux vous connaître et pourquoi pas, approfondir votre relation. Mais malheureusement, vous savez que cet.te ami.e est un peu susceptible, et a tendance à vite cataloguer les gens selon ce qu’il.elle entend d’eux ou ressent sur le moment. Faire ce test peut fragiliser votre relation. Tout le monde n’a pas les compétences nécessaires pour interpréter un test de personnalité et surtout prendre de la hauteur face à sa lecture. D’autres étant plus rusé.es sont capables de répondre en fonction des résultats que l’on attend d’eux. 
Voici donc le premier danger : « avec un peu de connaissance et d’intelligence, on peut modifier nos réponses et paraître ce que nous ne sommes pas ». Le discernement et l’éthique sont donc deux facteurs essentiels au traitement adéquat des résultats. L’autre danger plus évident est que plusieurs professionnels peuvent se baser sur ces résultats et écarter de bons candidats, qui ne le paraissent pas au prime abord.
Certains traits de personnalité se développent à force de pratique. Les traits de personnalité sont comme des muscles, soit ils sont pratiqués et se développent ou soit ils ne le sont pas et s’atrophient. Dépendamment de notre environnement, de notre profession et des personnalités que nous fréquentons sur le moment, les challenges que nous rencontrons, les épreuves qui nous frappent ou encore le bonheur qu’on nous sert, notre personnalité se module au fil des temps et des circonstances.
Évidemment, certains caractères sont innés, et n’oublions pas la génétique, les astres, et tous les divers éléments qui peuvent forger le caractère ou la personnalité des uns et des autres.
Et c’est d’ailleurs à juste titre que certains traits de caractère reviennent, quel que soit le test que l’on effectue.

Et vous ? Y croyiez-vous ? 

Quel est votre trait de personnalité ?

Je suis disponible pour discuter avec vous de vos résultats, quel que soit le test de personnalité que vous avez fait.

Finir l’année sur une note plus juste de soi, ce n’est pas plus mal n’est-ce pas ?

Je vous souhaite de finir ce mois en paix, en santé et surtout avec un bon moral.
Nous ne pouvons prédire l’avenir, mais nous pouvons l’écrire tels que nous le souhaitons, un jour à la fois.

Recevez mes meilleures pensées, en vous et autour de vous.

Fiat Lux !

Luella.

Es-tu tolérant à l’ambiguïté?

Nous voici en novembre.

Je sais que les temps sont très difficiles. Alors que tout l’occident se reconfine, l’Afrique, elle, peine encore face à ses présidents avides de pouvoir qui plongent pays et peuples dans des lendemains incertains.

Depuis mars, le monde entier vit au jour le jour, comme en attendant une petite nouvelle pleine d’espoir. Mais les choses semblent vouloir contredire nos attentes.

Il n’y a pas moment plus propice pour moi de vous parler d’une aptitude très demandée en leadership: la tolérance à l’ambiguïté, autrement appelée la gestion du gris.

D’emblée de jeux, j’aimerais préciser avant tout que c’est un état cognitif. Par exemple, les personnes autoritaires et/ou rigoureuses sont jugées moins tolérantes à l’ambiguïté.
De nos jours, il arrive de plus en plus de situations incontrôlables (pandémie, crise économique, crash aérien, attaques terroristes), qui touchent à tous les sphères de la vie, changent les données en un rien de temps et peuvent plonger dans l’incertitude totale.

La tolérance à l’ambiguïté est la capacité d’un individu à faire face à des situations non structurées, inachevées et sans issus définis. Ces genres de situations qui manquent de données familières, totalement nouvelles ou encore qui disposent d’un grand nombre de données et dont on ne peut faire le tri de façon objective. Dans l’autre sens, il y a évidemment la notion d’intolérance à l’ambiguïté.

Comment tolère-t-on l’ambiguïté?

– Avoir la capacité de percevoir ou d’interpréter une information vague, incomplète, fragmentée, contradictoire et non claire est de la tolérance à l’ambiguïté.

– Être confortable avec des hypothèses et penser en termes de probabilités

– Accepter de ne pouvoir avancer une issue claire et déterminée face à certaines situations

– Le confort face à des situations ambiguës, le fait de se surpasser en compétences dans la résolution des situations ambiguës…

Pourquoi la tolérance à l’ambiguïté est-elle une aptitude très recherchée pour le leader de demain?

Que vous cherchiez à devenir un leader charismatique, transformationnel, responsable ou encore visionnaire, votre attitude face aux évènements est très déterminante. L’inconfort commence à s’instaurer comme une situation de challenge permanente et seule la tolérance à l’ambiguïté est la réponse immédiate qui s’offre à vous.

Mais comment réussit-on à gérer la tolérance à l’ambiguïté?

La créativité n’est pas qu’innée ; elle se pratique et se développe au fil des exercices, de méthodes et de pratiques bien spécifiques. En situation d’ambiguïté, cela suppose qu’il manque des instructions claires ou encore des antécédents à une certaine situation et seule votre capacité d’être créatif vous distinguera de la manière de gérer cette situation.

L’une des clefs les plus utiles est la créativité. La créativité est cette capacité de transcender les façons traditionnelles et conventionnelles de réfléchir et d’agir, et de créer des idées nouvelles, de nouveaux manières, méthodes ou objets.

À tort, être tolérant à l’ambiguïté peut être perçue comme un trait négatif. Il ne faut pas oublier que la gestion du gris peut se référer au fait de n’être ni blanc ni noir, donc dans des positions jamais assumées, naviguer en eau trouble ou ne pas avoir de parti pris de façon claire. La malhonnêteté intellectuelle, la fourberie ou encore l’inconstance ou le fait de ne pas assumer clairement ses positions ne sont pas de la tolérance à l’ambiguïté. Il est bon de rappeler que dans les années 1960, être tolérant à l’ambiguïté est un signe de bonne santé mentale.

Et vous, êtes-vous tolérant à l’ambiguïté? Comment gérez-vous ces temps incertains? Arrivez-vous à avoir une visibilité sur vos projets à moyen et long terme? Comment vous sentez-vous dans votre cœur et dans votre tête?

Je suis curieuse de la savoir. Écrivez-moi afin qu’on en discute.

Que mes meilleures pensées vous accompagnent…

Votre bien-aimée Luella 

Défaire sa boule de laine…

La difficulté récurrente…

Cher.e.s ami.e.s,
Par ces temps fragiles et incertains, j’espère que ma lettre vous trouve en santé, vous et votre famille.
Il me plait ce mois d’octobre, de vous parler de la difficulté récurrente.
La difficulté récurrente est celle-là qui survient de façon cyclique dans notre vie. Elle peut survenir dans votre vie quotidienne, mais aussi dans votre vie  professionnelle. Grand facteur de démotivation, la difficulté récurrente peut être un signe que nous ne sommes pas suffisamment alignés avec nos besoins ou encore notre mission de vie.
L’identifier et trouver les raisons qui nous y provoquent est un processus que je nomme « Défaire sa boule de laine ».
La boule de laine, c’est ce petit truc qui nous pèse au cœur, et sur lequel il suffit de tirer juste un peu pour que tout s’éclate.
C’est ce petit nœud qui nous noue la gorge par moment et nous fait nous sentir petit.e, faible, seul.e ou encore incompris.e des autres…
C’est cet espace intérieur que nous avons peur d’explorer et dont nous refermons si vite la porte dès que quelqu’un l’ouvre par mégarde…
Il fut une époque, j’étais gestionnaire d’équipe. Je m’étais fait une réputation un peu spéciale. J’avais la capacité de reprendre tous les projets qui n’avançaient pas et de les remettre à flot. Surtout, je pouvais amener des collaborateurs à se dépasser et donner le meilleur d’eux-mêmes. C’était beau, mais j’en étais malheureuse. J’avais remarqué que je subissais une  « certaine difficulté récurrente ». Alors que je commençais à donner des résultats, le projet m’était arraché et remis à un collègue junior, que j’avais moi-même formé et qui en récoltait tous les lauriers.
Ce cycle recommençait sans cesse. À chaque fois, je me disais que ce serait différent, mais quand arrivait le moment fatidique, les choses se passaient toujours de la même manière. 
J’en étais déprimée, démotivée, je me sentais dévalorisée et j’ai pensé que partir était la solution. Mais ailleurs, le même processus reprenait dans d’autres circonstances avec des personnes différentes.
J’ai dû admettre que je devais faire face à moi-même et défaire ce que j’ai nommé « ma boule de laine ». 
Le processus a été douloureux, long. Alors que je pensais que les autres étaient toujours contre moi, que la nature était injuste, j’appris que j’étais ma seule et unique ennemie. 
Si comme moi, vous avez identifié une difficulté récurrente dans quelque sphère de votre vie, sachez que tant que vous ne l’affrontez pas, vous n’avancerez pas.
Comment identifier sa difficulté récurrente et commencer à la défaire ?
– Dans la vie quotidienne ou dans l’exercice de vos fonctions, identifier une difficulté récurrente
– Essayer de décrire la difficulté et dans quelle circonstance elle se déroule.
– Quelles sont vos intentions, vos pensées, vos émotions, vos croyances lorsqu’elle survient?
– Sous quelle forme se présente-t-elle, dans quelle circonstance survient-elle et quelle est sa périodicité ?
Voici quelques questions pour vous aider à commencer à travailler sur votre difficulté récurrente.
Quant à moi, lors du processus, j’ai dû apprendre à identifier et écouter mes besoins. 
La majeure partie de ma frustration venait du fait que j’avais un besoin de reconnaissance. Je voulais que mes efforts soient reconnus, je voulais que les manageurs juniors partagent leurs lauriers avec moi, et me rendent responsable de leur succès. 
Si ma difficulté récurrente a disparu ? Pas totalement. Mais j’ai appris à comprendre son mécanisme, mais aussi mes propres schémas de pensées et d’actions et je travaille toujours fort à m’aligner avec mes besoins.
Quel est votre besoin ? La pyramide de Maslow peut vous aider à l’identifier facilement.



– 

Parlez — moi de votre besoin et nous pourrons ensemble défaire votre boule de laine. Go! il est temps de briser le cercle de la difficulté récurrente. Aligner vos besoins et décrivez-moi les émotions qui s’y rattachent. Affrontez enfin le monstre qui vous empêche de passer à l’étape supérieure de votre carrière.

Peace and love,
Votre bien-aimée Lüella

S’aligner…

À cette veille de rentrée, nous ne rentrons pas seulement nos enfants.
C’est également la rentrée professionnelle. C’est le moment où les planifications vont bon train, les budgets de l’année suivante sont votés et les plans stratégiques mis sur la table.
Pour certains surtout les plus jeunes, c’est un tournant dans leur vie professionnelle, car soit, ils commencent un stage en entreprise ou cherchent un nouvel emploi.
Pour les habitués sur le marché de travail, cette énième rentrée est l’occasion de se demander si l’on est vraiment aligné professionnellement.

Qu’est-ce l’alignement professionnel ?

Souvent, on comprend mieux ce qu’on veut en identifiant ce qu’on ne veut pas. Alors je dirai qu’est-ce ne pas être aligné professionnellement?

Quelques petits signes que nous percevons dans notre vie quotidienne peuvent nous mettre en alerte comme :

  • Se réveiller chaque matin encore plus fatigué•e et sans trop de motivation pour démarrer la journée
  • Ne pas avancer dans ses projets malgré tous ses efforts
  • Trouver que son quotidien et même sa vie manquent de sens
  • Avoir l’impression de jouer un rôle aussi bien dans votre vie personnelle, sociale que professionnelle.
  • Subir certains évènements comme tomber malade à la veille d’une formation à laquelle on n’avait pas envie de participer au départ,
  • Etc.

S’aligner commence par s’écouter soi-même. Dans nos précédentes parutions, nous avons appris à nous découvrir, prémices de l’alignement de soi. Il est alors temps de s’écouter.
Écouter ses émotions, ses besoins, ses limites. Se connecter avec son Moi intérieur, et commencer à établir le lien entre ses émotions à ses envies, se résoudre à laisser partir ce qui ne nous convient pas, accepter que l’on fasse fausse route, choisir sa nouvelle direction.

Ce que nous ressentons doit transparaître dans nos actions. Nos idées doivent se formuler dans notre parole. S’apparier à tous les égards, c’est cela s’aligner. Et on parle alors de « congruence ».

Petit exercice :
Dans un petit carnet de notes, diviser la page en deux :
Dans la première partie, notez comment on se sent par rapport à sa vie professionnelle, quels sont les points qu’on aime, ceux avec lesquels on est le moins à l’aise ?
Dans la deuxième partie, inscrire la situation professionnelle rêvée : ce qu’on aimerait se voir accomplir tous les jours, ce dans quoi on se sentirait le plus à l’aise.
Fermer le calepin et à partir de ce jour, commencer à s’écouter. Penser à comment remplacer la situation que l’on déteste avec celle que l’on aimerait voir. Chercher en nous les forces, les valeurs, les compétences que l’on possède déjà qui peuvent nous aider à le faire.
Petit à petit, poser les bases de son alignement.
Ne pas oublier de cultiver la bienveillance envers soi-même. Le processus peut être long. Parfois, on ne peut aller plus vite à cause de certaines réalités que l’on vit. Mais l’essentiel est de rester ouvert à toutes les éventualités et surtout de savoir lire et anticiper sur certains évènements.
 

Plus de lectures sur l’alignement professionnel?

https://effet-a.com/leadership-communication/3-bonnes-raisons-daligner-valeurs-personnelles-et-travail/ 

https://le-caribou.ca/alignement-de-soi/

Recevez toute ma bienveillante lumière.

N’oubliez surtout pas que je reste entièrement à votre disposition si vous avez envie d’entamer un processus d’alignement personnel et professionnel.


Votre bien-aimée, Lüella.

Le CV classique n’est plus d’actualité, le sais-tu?

Le CV en bloc avec des items bien définis, un classique de tous les temps, n’impressionne plus.

C’est normal que lors de tes cours, tes professeurs t’ont expliqué combien il serait primordial pour toi de le réussir, seul gage de ton insertion professionnelle.

Sans vouloir les contredire, je suis bien obligée de te dire que cela ne suffit plus.

Pire, il n’impressionne plus ou encore aucun recruteur ne s’y attarde.

Comment faire alors?

Pas de panique!

Je suis disposée à te parler des nouvelles astuces qui remplacent le CV et les différentes manières de te démarquer sur le marché de l’emploi.

Contacte-moi.

La légende professionnelle…

Quand j’étais enfant, mon père me demanda une fois ce que je voulais devenir plus tard. Écrivain ! ai-je répondu toute fière de moi. « Écrivain n’est pas un métier » me rétorqua-t-il. Même si cela cassa mon élan et donna un coup à ma fierté, au fonds de mon cœur, je savais que j’avais quelque chose à raconter au monde entier. J’avais un message à porter, je voulais que ma voie s’entende. Et plus tard, je publiai deux livres, et tous les jours, je continue d’écrire. 
Mais combien de rêves, d’ambitions ont été tués dans l’œuf par la simple remarque d’un parent (qui se veut certes réaliste, mais rien d’encourageant), qui était un modèle pour son enfant ?

Il est dit que chaque individu a une légende personnelle.

La légende personnelle est définie par plusieurs comme l’unique mission qu’un individu doit remplir sur cette terre. Elle est inscrite dans son cœur avant même sa naissance et seul lui le connaît.
Pour se rapprocher un peu de cette notion, je parle ici de la « légende professionnelle ».
La légende professionnelle pour moi, elle constitue cette situation, cet emploi, cet espace professionnel par lesquels nous accomplissons notre légende personnelle. Cette situation qui, par laquelle, nous accomplissons notre mission de vie, ce pour quoi nous sommes venus sur terre. 

Si, certaines personnes savent depuis enfant, quelle est leur vocation professionnelle comme devenir médecin, avocat ou pompier, pour la plupart des gens, trouver sa légende professionnelle n’a jamais été une chose facile.
Comment trouver sa légende professionnelle ? Comment déterminer quelle est sa mission de vie ?
La légende professionnelle va bien au-delà du choix de la bonne formation, du bon métier ou de la meilleure entreprise. Elle est cette raison qui nous permet de nous lever chaque matin et d’aller travailler à cœur joie, qu’importe ce que nous gagnons, mais avec, pour immense satisfaction, de se sentir utile aux autres et savoir que l’on participe à rendre le monde meilleur.
Dans les précédentes parutions, nous avons amorcé la démarche en développant des outils pour mieux se connaitre.
Plusieurs méthodes existent pour trouver sa légende professionnelle, entre autres la méthode japonaise Ikigaï.  Découvrez l’Ikigaï et apprenez en plus sur ce site: 
https://www.penserchanger.com/ikigai-trouvez-le-sens-de-votre-vie

L’alignement est un autre outil efficace pour découvrir sa légende professionnelle et la vivre de façon harmonieuse. Dans notre prochaine parution, nous allons discuter de quelques méthodes et conseils pour apprendre à s’aligner avec soi-même.

Quelques liens pour en savoir plus sur la mission de vie.

https://www.reussirmavie.net/Comment-decouvrir-sa-mission-de-vie_a2886.html
https://www.lesmotspositifs.com/blogue/trouver-sa-mission-de-vie/

En attendant de vous lire bientôt, je vous envoie beaucoup de lumière.

Lüella.

Bienvenue dans ma newsletter…

Une démarche professionnelle demande beaucoup de méthodes, de politique, de connaissances.

La newsletter a pour but de vous informer en donnant des outils de perfectionnement.

Chaque mois, nous allons discuter d’un sujet. Il peut prendre la forme d’une anecdote, une question, une métaphore etc. Il a pour but de te confronter à une situation professionnelle et t’aider à acquérir des armes pour te rendre meilleur.e.

Te développer en tant que personne, t’enrichir en tant que professionnel.le, te guider sur l’échiquier de la vie.

Si tu as des questions, des préoccupations, des témoignages, tu peux toujours m’écrire.

Ceci n’est pas une tribune où je veux être la seule à te parler. Je veux te prêter ma voix, et je me ferai un plaisir d’être ta plume.

As-tu des préoccupations au sujet de ta carrière?

Tu vis une certaine situation depuis un temps et tu ne sais pas vers qui te tourner?

Tu as des ambitions professionnelles et tu ne sais comment les concrétiser?

Tu es à la bonne place. J’espère faire de ces rendez-vous mensuels de vrais moments de rencontre et de communion, riches d’apprentissage mutuel et d’enrichissement personnel.

Alors, je nous souhaite bonne chance dans cette nouvelle aventure professionnelle!

Ta bien-aimée Lüella

Se réinventer sans cesse…

On rencontre sa destinée sur les chemins que l’on prend pour l’éviter (Jean de la Fontaine).

Cette phrase a résonné en moi comme une évidence quand je m’efforçais de mettre au clair mes résolutions pour la nouvelle année.

Avouons-le : il est impensable de rentrer dans une nouvelle année sans se dire qu’il faudrait qu’on change certaines choses dans notre vie, ou alors, qu’on engage de nouvelles.

De nos jours, ce n’est plus l’apanage des gens organisés et intelligents de faire une liste de nouvelles résolutions.

Mais, à quoi servent les résolutions si elles ne sont jamais respectées, car rapidement, les habitudes reprennent le dessus, les événements au quotidien ne nous aident pas plus, bref, il y a toujours une raison pour justifier d’avoir manqué de respecter quelques points dans notre liste de résolutions.

De plus, il vous est déjà sans doute arrivé de ressentir de la culpabilité après l’application minutieuse d’une résolution qui n’a pas donné les résultats escomptés, ou encore donné le meilleur de vous-même pour vous être entendu dire après que ce n’était pas assez, ou pas dans la bonne direction.

Je suis arrivée donc à la conclusion qu’une seule chose importe : contrôler nos pensées.

« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée« , disait Descartes.

Partant de ce fait, toute personne qui désire réaliser une chose a en tête qu’elle doit la faire, et cherche souvent les moyens d’y arriver. Que ces moyens/méthodes soient écrits ou pas, ils sont tout de même gravés dans son cœur ; son esprit n’a de répit que lorsqu’elle vient à les mettre en application.

Il faut juste se réinventer sans cesse.

Apprendre à faire de nouvelles choses, y prendre goût, oser prendre des chemins tordus, oser défier l’ordre établi, oser penser au-delà des limites établies. Ainsi, les habitudes sont forcées de changer par elles-mêmes, pour suivre le nouveau chemin.

On peut alors se surprendre à se découvrir des qualités insoupçonnées, à développer des compétences sans grands efforts, car nécessaires pour avancer.

Parfois, ce que nous désirons ne vient pas de là où nous l’espérons. Nous pouvons nous investir dans une formation et ne jamais avoir l’opportunité de faire valoir nos diplômes, mais trouver un emploi épanouissant qui nous rend heureux. Nous attendons parfois de la gratitude ou un retour d’ascenseur des gens que nous avons servi et l’aide vient de parfaits inconnus insoupçonnés.

Des résolutions ne sont-elles pas une manière de forcer les choses ? De les tracer comme nous les pensons, peut-être tout croche et surtout, des formes de balises toutes faites pour nous autocensurer ?

Pour la nouvelle année, il n’y a qu’une seule résolution à prendre : se réinventer sans cesse ; se réinventer sans liste, sans contrainte, avec une grande ouverture d’esprit, accueillant tout ce qui vient comme des occasions enfin de rencontrer ce que l’on recherche, avec gratitude et humilité. Se réinventer en donnant de la bonne nourriture à sa tête et à son cœur ; se réinventer avec imagination, en cherchant la petite étincelle qui peut faire d’un emploi ennuyeux le meilleur des emplois, ou changer une situation d’apparence banale en une occasion rêvée.

Souviens-toi : tu rencontreras ton destin sur le chemin que tu empruntes pour l’éviter, et non sur celui que tu as tracé pour le rencontrer.

#Nouvellesrésolutions; #Gratitude; #Bienveillance; DeveloppementPersonnel; #Destin